Les écologistes proposent qu’une partie des recettes de la vente des vins par l’OIV soit reversée aux épiceries solidaires ou au Centre Communal d’Action Social
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Madame la Maire,
Nous trouvons intéressant ce projet de culture viticole dans le cadre de la renaissance du
vignoble. Nous nus réjouissons que la ville ait cette fois-ci choisi une pratique en agriculture
biologique, ce que nous avons demandé systématiquement sur l’ensemble des terres dont la ville ou
la métropole est propriétaire.
Nous sommes surpris par la modicité du loyer demandé même s’il est conforme à
l’évaluation des domaines. Nous souhaitons qu’une partie des éventuels bénéfices que pourrait faire
l’Organisation Internationale de la Vigne et du Vin (OIV), qui ne manque sans doute pas de moyens,
soit reversé au Centre Communal d’Action Social ou à une épicerie solidaire de la ville.

Frédéric Faverjon