
Nous sommes évidemment d’accord pour avoir un camping avec une offre de qualité qui pourrait se situer dans une démarche de labellisation éco-responsable, le camping étant bien inscrit dans le territoire métropolitain. Or, à la lecture du rapport et de l’annexe, nous avons besoin d’avoir des précisions en ce sens. D’où les quatre questions:- quelle prise en compte du risque inondation, qui existe nous le savons, en lien avec la labellisation ambitieuse, au-delà des cabanes à pilotis prévues? – quelle gestion environnementales des déchets, incluant notamment la collecte des bio-déchets? – quels équipements spécifiques prévus pour les cyclo-touristes? Le cyclo-tourisme en effet se développe de façon exponentielle, ce dont il faut se féliciter. Et pour cela, il faut prévoir le système vélo qui va avec: est-il prévu des garages vélo sécurisés ainsi qu’un service d’entretien et de réparation que pourraient assurer des acteurs de la métropole? – est-il prévu in système de tarification sociale facilitant un éco-tourisme social et solidaire? Ce qui permettrait à nos concitoyens impacté par les conséquences de la crise énergétique et par l’inflation de pouvoir profiter des vacances, malgré tout